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Petites et grandes histoires de vacances. Une invitation aux souvenirs, à chercher des images gravées, perdues, oubliées.

Ecrire, encore et toujours.

Ecrire avec la lumière… et davantage encore…

Pourquoi écrire ? Figer ou évoquer le temps ?

L’œil serait-il le  prolongement de mon cœur ?

L’acte photographique me permet de vivre intensément les choses, c’est une certitude. Aucun regret, la vie, je l’aurai prise…

Loin du tumulte de la vie active et citadine, le temps est comme suspendu, quel jour sommes-nous ? Lundi ? Non, c’était hier…

Que va-t-on faire cet après-midi ? La pêche aux écrevisses avec les enfants ?

Pourquoi pas…

Et ce soir, une ballade avec la vieille voiture de mon grand-père ?

Il est question dans ces séries de souvenirs, de temps qui passe, de transmission et, surtout, d’une volonté de figer le temps.

Chacun peut se raconter sa propre histoire, ces photographies sont des flashs comme lorsque l’on ferme les yeux...

 

Chaque été, je reprends mon boitier muni d’un 50 mm, sans pouvoir arrêter le temps.

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